samedi 23 février 2013

Quand je peins, j'evite le noir et le blanc.


...Et là, les piranhas en réalité c’étaient des humains ! Et notre paye c’était le prix qu'on pouvait tirer de leur cadavre . Y'en avaient qui étaient morts et désarticulés. D'autres, fous de panique , se débattaient contre l'asphixye et  je remarquais que quelques uns  avaient les yeux grands ouverts et nous fixaient, sans qu'on puisse déceler  d'expression dans leur regard . On devait les  emmener en dehors du local pour les achever et ensuite les dépecer. Ils étaient vraiment  troublants avec leur tête et leurs mains humaines , leur peau  visqueuse et semée d’écailles par endroits tandis que  leurs   jambes  collées  et palmées formaient une sorte de  nageoire caudale difforme. Dans leur bouche,  des dents énormes et pathétiques  jaillissaient  . Ils étaient tous en train de crever,  branchies à l'air , immobiles ou secoués de spasmes, sans  qu'aucun mot ou  cri  ne sorte  de leur gorge .


 Après ce prologue à caractère troublant,
voici quelques uns de mes petits monstros :



Pussy fly

La fameuse reine des abeilles banches





Et en bonus un générique de dessin animé, Rémi sans famille:


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